Tsilhqot’in
Catherine Nolin, collaboratrice universitaire au centre CICADA, a noué un partenariat avec la Première nation Tsilhqot’in afin d’articuler les prises de position et les perspectives de cette communauté à l’égard des industries d’extraction telles l’exploitation forestière et les mines.
Conservation et aires protégées |
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Politiques d’extraction des ressources |
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Avant que ne soit prononcé le jugement historique dans le cas opposant la Nation Tsilhqot’in à la province de la Colombie Britanique en 2014, Catherine Nolin a travaillé en collaboration avec la Nation Tsilhqot’in afin de faire connaitre leur position vis-à-vis la proposition d’ouverture de la mine d’or et de cuivre New Prosperity par Taseko Mines Limited (TML).

L’article de Nolin a servi de plate-forme d’expression pour les nombreuses voix de la communauté. Les membres de la Nation Tsilhqot’in décrivent les impacts des industries d’extraction sur les territoires et mettent en évidence la persistance de sociétés d’extraction des ressources dans leurs propositions de coopération.

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« Comment pouvez-vous vivre votre culture si vous n’avez pas de territoire sur lequel le faire? C’est quelque chose de quotidien. Nous dépendons de ce lieu. »
– Lois Williams, conseiller Xeni Gwet’in.


« Avec tant de soumissions, le système est débordé. Avec le prix du métal tel qu’il est, c’est comme s’il y avait une ruée vers l’or moderne. »
– JP Laplante, gestionnaire des mines, du pétrole et du gaz du gouvernement de la Nation Tsilhqot’in.
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